Nos illusions à terre
soudoyées par la folie meurtrière
De nos chers roitelets
Qui se satisfont
des orgies lunaires
et nucléaires
et de nos illusions à terre
RM
samedi 19 février 2011
lundi 7 février 2011
lundi 31 janvier 2011
Prière
ô rayons dispendieux de l'astre solaire
inondez nos corps de votre lumière
que nous puissions voir apparaitre
l'âme transparente de nos êtres
défaits
Sous le poids étouffant de nos vies
et par l'humaine condition salis
ô clairs de lune des nuits longues
répandez vos lumières sombres
dans nos cœurs
qu'enfin nous puissions croire
qu'il existe en un lieu un espoir
qui nous porte jusqu'au lendemain
et enveloppe nos piètres destins
RM
inondez nos corps de votre lumière
que nous puissions voir apparaitre
l'âme transparente de nos êtres
défaits
Sous le poids étouffant de nos vies
et par l'humaine condition salis
ô clairs de lune des nuits longues
répandez vos lumières sombres
dans nos cœurs
qu'enfin nous puissions croire
qu'il existe en un lieu un espoir
qui nous porte jusqu'au lendemain
et enveloppe nos piètres destins
RM
mercredi 26 janvier 2011
Sûr
Sûr que tout s'enfuit,
Devant le temps délavé
Et qu'alors tout nait
A d'autres apostrophes
Mais si sûr il est
Que tout s'en fait
C'est que s'emplit
L'hier défait
Sûr que nous, non
Et que l'hermétisme
Mais vous savez,
Que rien ne nait
De rien,
et qu'enfin fuit
le sûr avis
l'opinion fanée
à nos fenêtres
RM
Devant le temps délavé
Et qu'alors tout nait
A d'autres apostrophes
Mais si sûr il est
Que tout s'en fait
C'est que s'emplit
L'hier défait
Sûr que nous, non
Et que l'hermétisme
Mais vous savez,
Que rien ne nait
De rien,
et qu'enfin fuit
le sûr avis
l'opinion fanée
à nos fenêtres
RM
mardi 25 janvier 2011
Mât
Moi Rémi Martin déclare ce jour :
Je suis mort et devant moi gisent les fleurs
De la vie
Je suis absent et en moi gisent les débris
de l'histoire
Je retourne car ma vie dépend
Des moires
Je retarde car la lenteur est la clé de voute
de l'histoire
Je reviens et de nouveau ferais l'éloge
de la vie
RM
Je suis mort et devant moi gisent les fleurs
De la vie
Je suis absent et en moi gisent les débris
de l'histoire
Je retourne car ma vie dépend
Des moires
Je retarde car la lenteur est la clé de voute
de l'histoire
Je reviens et de nouveau ferais l'éloge
de la vie
RM
samedi 24 avril 2010
Quadrilatère
UN
Je suis mort, et ma voix raisonne dans l'univers
DEUX
Nulle envie, nul désir, je ne connais que le néant et l'absence
TROIS
Ceci et cela me conviens, et tant pis
QUATRE
Voyez, la lumière surgit depuis le ciel, et déborde sous nos peaux.
RM (géomètre)
Je suis mort, et ma voix raisonne dans l'univers
DEUX
Nulle envie, nul désir, je ne connais que le néant et l'absence
TROIS
Ceci et cela me conviens, et tant pis
QUATRE
Voyez, la lumière surgit depuis le ciel, et déborde sous nos peaux.
RM (géomètre)
jeudi 22 avril 2010
verve et vergues
Que n'ai-je déjà commis de nombreux débordements
Sans une once de remords ni même
un brin de pitié
mais cela n'est rien
Car dans le trout tout se dissout
Et se fait tiens
Qu'a cela ne tienne nous n'auront pas de juges
Ni de condamnés
Aux devantures de l'espérance
Aux sons fanés des sociétés anonymes,
de nos artistes plastifiés
que ne suis-je moi-même ankylosé dans une verve anesthésiée
Par le devenir de mon inexistence
Que n'ai-je au risque de me perdre vendu ma verve au plus offrant
que n'ai-je offert mes vergues
A ceux qui voient en moi la figure et l'icône
De ce que sont les morts-vivants,
poètes du néant et du désespoir
petits porteurs du vice et de l'espace des songes
Ha, l'hermétisme,
Ha nos vagabondages anonymes et volages
Ha que n'ai-je déjà fait du chemin,
Sur cette toile de lumière et d'électricité
Ha le tupper-ware, le gaz et le trout
Ha la progression du "rien"
devant les alcools de la littérature
dans les arrières salles et sur les devantures
RM (back soon)
Sans une once de remords ni même
un brin de pitié
mais cela n'est rien
Car dans le trout tout se dissout
Et se fait tiens
Qu'a cela ne tienne nous n'auront pas de juges
Ni de condamnés
Aux devantures de l'espérance
Aux sons fanés des sociétés anonymes,
de nos artistes plastifiés
que ne suis-je moi-même ankylosé dans une verve anesthésiée
Par le devenir de mon inexistence
Que n'ai-je au risque de me perdre vendu ma verve au plus offrant
que n'ai-je offert mes vergues
A ceux qui voient en moi la figure et l'icône
De ce que sont les morts-vivants,
poètes du néant et du désespoir
petits porteurs du vice et de l'espace des songes
Ha, l'hermétisme,
Ha nos vagabondages anonymes et volages
Ha que n'ai-je déjà fait du chemin,
Sur cette toile de lumière et d'électricité
Ha le tupper-ware, le gaz et le trout
Ha la progression du "rien"
devant les alcools de la littérature
dans les arrières salles et sur les devantures
RM (back soon)
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