Ô Martin, au blême, au Blaise,
Et d'ailleurs, à l'ailleurs.
Les bourreaux ni des martiens,
les bourrins ni des marteaux,
les Martins ni des barreaux.
Ni des animaux.
disons que rien n'est tout les atouts
mais que les atours, à tout,
troutent !
d'où le rémimartinisme et l'hermétisme
d'où la souveraineté du Gaz et de la délectation.
Tion
...
petit pont
...
du père et de la mère dans des boîtes d'argent
et de l'espace que font les mots
et des mots que font l'espace.
RM (Spaceman)
samedi 20 février 2010
vendredi 19 février 2010
Matin blême
au petit matin,
les blâmes blâment
et les blêmes blêment
Ce qui d'ailleurs n'a rien de bien grave
Car ce qui compte au matin comme ailleurs,
C'est que le trout troute
au grands soirs
les boules boulent
et les moutons bêlent
et les mourons rêlent
ha !
tout cela n'est-il pas une histoire d'eau ?
je veux dire : de poissons dans l'huile qui bêlent en cœurs !!!
Sur ce, n'oublier pas de moutonner et ne bramez pas trop fort
au matin blême.
RM
les blâmes blâment
et les blêmes blêment
Ce qui d'ailleurs n'a rien de bien grave
Car ce qui compte au matin comme ailleurs,
C'est que le trout troute
au grands soirs
les boules boulent
et les moutons bêlent
et les mourons rêlent
ha !
tout cela n'est-il pas une histoire d'eau ?
je veux dire : de poissons dans l'huile qui bêlent en cœurs !!!
Sur ce, n'oublier pas de moutonner et ne bramez pas trop fort
au matin blême.
RM
mercredi 17 février 2010
une chanson
Couverte à l'aube de feuilles mortes
Dans un flot de poussière
Et d'éther
Cette chanson s'efface devant
la mort des imbéciles
heureux. Tour,
Une chanson née du pourfendu
Et de l'alcool en verre
Dans un cercle froid
Devant le rock et derrière Wolfgang
Une chanson de misère
Pour Victor, et Voltaire.
RM
Dans un flot de poussière
Et d'éther
Cette chanson s'efface devant
la mort des imbéciles
heureux. Tour,
Une chanson née du pourfendu
Et de l'alcool en verre
Dans un cercle froid
Devant le rock et derrière Wolfgang
Une chanson de misère
Pour Victor, et Voltaire.
RM
Ode à TT
Ha Tristan, tu fut Dadaïste,
Et surement toute ta vie,
plus et mieux que les autres
ha Tzara, que ce nom rayonne,
que serait l'art sans ton passage dévastateur
Arthur lui-même n'eut fait que te louer
S'il eut vécu jusqu'à toi.
Cette ode est bien mal écrite Tristan,
Mais tu connais les affres des langues
et des fourches
et tes poèmes aussi étaient jetés
à tord et à travers
Reçois donc, de ta divine demeure
cet humble petit mot.
RM
Et surement toute ta vie,
plus et mieux que les autres
ha Tzara, que ce nom rayonne,
que serait l'art sans ton passage dévastateur
Arthur lui-même n'eut fait que te louer
S'il eut vécu jusqu'à toi.
Cette ode est bien mal écrite Tristan,
Mais tu connais les affres des langues
et des fourches
et tes poèmes aussi étaient jetés
à tord et à travers
Reçois donc, de ta divine demeure
cet humble petit mot.
RM
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