Que n'ai-je déjà commis de nombreux débordements
Sans une once de remords ni même
un brin de pitié
mais cela n'est rien
Car dans le trout tout se dissout
Et se fait tiens
Qu'a cela ne tienne nous n'auront pas de juges
Ni de condamnés
Aux devantures de l'espérance
Aux sons fanés des sociétés anonymes,
de nos artistes plastifiés
que ne suis-je moi-même ankylosé dans une verve anesthésiée
Par le devenir de mon inexistence
Que n'ai-je au risque de me perdre vendu ma verve au plus offrant
que n'ai-je offert mes vergues
A ceux qui voient en moi la figure et l'icône
De ce que sont les morts-vivants,
poètes du néant et du désespoir
petits porteurs du vice et de l'espace des songes
Ha, l'hermétisme,
Ha nos vagabondages anonymes et volages
Ha que n'ai-je déjà fait du chemin,
Sur cette toile de lumière et d'électricité
Ha le tupper-ware, le gaz et le trout
Ha la progression du "rien"
devant les alcools de la littérature
dans les arrières salles et sur les devantures
RM (back soon)
jeudi 22 avril 2010
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