Dans les galeries du temps l'on se fait arpenteur, et ceci sans envies
autant dire aujourd'hui, autant cueillir la fleur, de l'ennui
et trainer son corps, jusque dans les profondeurs de l'éther
dans la galerie planétaire, personne ne choisis sa place,
c'est une débandade et devant les glaces
c'est Narcisse qui se regarde, toujours,
dans ces mondes clos que l'on à construit.
et ceux qui haïssent, ceux qui taisent, ceux qui crient
ne sont pas les bienvenus dans les galeries
la misère se fond en trop petit, ou trop grand mystère
où l'homme se terre, où tout meurt un peu
Dans les galeries de l'art on prend le temps, de se masturber
et souvent l'on en revient content et satisfait.
pauvres petits hommes, quel dieu pourrait donc vous aimer,
puisque vous n'êtes dans ces galeries,
que de vulgaires passagers.
RM (homo hermeticus)
samedi 16 mai 2009
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