Sous nos trêves
les miroirs entravés de la mémoire
se dessinent en volumes
comme une mer déchainée,
qui fracasse nos navires
impropres à défier les vagues
du voyage intime
soudainement élevées et retombée
sous nos pieds,
aux niveaux des terrains vagues
de la vaste terre
poussées nos vogues,
sur le filin du souvenir
à toujours s'en croire
d'ailleurs.
modifiez les messages
dans les boudoirs
pour ceci en nous-même
qui se trompe volontiers
et se refait les histoires
sous le voile des poussoirs
RM
mardi 23 juin 2009
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