point de langage sans adduction
du sens absent des traductions
mais sur des signes absolus
du coin de nos petites rues
pour faire un monde et s'y tromper
à l'aube des temps reculés
Monsieur Martin est adultère
sans s'étoiler et défaire
ni propre à être ni à périr
ne penser que par la dérive
et l'autre banc des directions
de nos infimes traductions
troublera-t-on les atmosphères ?
par nos tribulations perdues
qui se démènent par vertu
à démembrer nos saints hivers
traduire entre autres les antres
du tropisme
et de l'atomisme triomphant
les chants en translations
de l'un à l'autre rubicond
du martinage évertué
et de l'atroce négation
RM
mardi 7 juillet 2009
mercredi 1 juillet 2009
attention
c'est la verte saison,
Toutes les fleurs donnent leur parfums intimes
aux hommes de passage
et les fenêtres ouvertes
donnent d'autres vues
sur les canaux
Nos canons, pointés
seront différés
sous nos vies incrédules
d'âme qui capitule
Nous rendons les armes
ô verte saison
nous cédons au charme
de l'apparition
sur nos peaux avides
de ces chauds rayons
pour nos corps lucides
couverts de haillons
RM
Toutes les fleurs donnent leur parfums intimes
aux hommes de passage
et les fenêtres ouvertes
donnent d'autres vues
sur les canaux
Nos canons, pointés
seront différés
sous nos vies incrédules
d'âme qui capitule
Nous rendons les armes
ô verte saison
nous cédons au charme
de l'apparition
sur nos peaux avides
de ces chauds rayons
pour nos corps lucides
couverts de haillons
RM
lundi 29 juin 2009
cri
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
mercredi 24 juin 2009
mic mac
mic au matins
mac au soirs
et mic mac moc tibodop
micmicmic licolic mic mac moc
dipocap
mic mac
mic
mac
RM (web-rider)
mac au soirs
et mic mac moc tibodop
micmicmic licolic mic mac moc
dipocap
mic mac
mic
mac
RM (web-rider)
mardi 23 juin 2009
poussoir
Sous nos trêves
les miroirs entravés de la mémoire
se dessinent en volumes
comme une mer déchainée,
qui fracasse nos navires
impropres à défier les vagues
du voyage intime
soudainement élevées et retombée
sous nos pieds,
aux niveaux des terrains vagues
de la vaste terre
poussées nos vogues,
sur le filin du souvenir
à toujours s'en croire
d'ailleurs.
modifiez les messages
dans les boudoirs
pour ceci en nous-même
qui se trompe volontiers
et se refait les histoires
sous le voile des poussoirs
RM
les miroirs entravés de la mémoire
se dessinent en volumes
comme une mer déchainée,
qui fracasse nos navires
impropres à défier les vagues
du voyage intime
soudainement élevées et retombée
sous nos pieds,
aux niveaux des terrains vagues
de la vaste terre
poussées nos vogues,
sur le filin du souvenir
à toujours s'en croire
d'ailleurs.
modifiez les messages
dans les boudoirs
pour ceci en nous-même
qui se trompe volontiers
et se refait les histoires
sous le voile des poussoirs
RM
lundi 22 juin 2009
l'art et la matière
En Art, l'on manipule.
Une Matière
Ne régler que la température
pour le subtil et l'épais
tenir en ses mains
le choix
et voir s'ouvrir
Les boutons
d'autres matières sont à conquérir
dans une dimension
de l'art pour mentir
sans soustraire
et se vider, partir
être ivre d'enfer
Ivre d'art
et de Matière.
RM
Une Matière
Ne régler que la température
pour le subtil et l'épais
tenir en ses mains
le choix
et voir s'ouvrir
Les boutons
d'autres matières sont à conquérir
dans une dimension
de l'art pour mentir
sans soustraire
et se vider, partir
être ivre d'enfer
Ivre d'art
et de Matière.
RM
dimanche 21 juin 2009
combles
Sous les toits de l'avenir,
En tas,
Nos chimères poussiéreuses
Vite assemblées sur une partie du rien
Devant nos décrépitudes niées
Ha, que de héros mis au rebut
Que de vie embrumées par les mystères
Du vrai et du beau !
Nions encore notre nature,
La nature, l'homme
Et ses trop pleins d'existence
D'autres sacrifices seront accomplis
Sans la moindre volonté de nuire
Ou de créer
D'autres sacrifiés,
Pour ce qu'ils n'ont pas voulu
De leur corps.
Prendre à revers nos inconditions
Revenir, à l'ennemi premier
Et le détruire, l'écraser
Et l'annuler.
RM
En tas,
Nos chimères poussiéreuses
Vite assemblées sur une partie du rien
Devant nos décrépitudes niées
Ha, que de héros mis au rebut
Que de vie embrumées par les mystères
Du vrai et du beau !
Nions encore notre nature,
La nature, l'homme
Et ses trop pleins d'existence
D'autres sacrifices seront accomplis
Sans la moindre volonté de nuire
Ou de créer
D'autres sacrifiés,
Pour ce qu'ils n'ont pas voulu
De leur corps.
Prendre à revers nos inconditions
Revenir, à l'ennemi premier
Et le détruire, l'écraser
Et l'annuler.
RM
vendredi 19 juin 2009
troubles
Facéties de l'espace, vendues au rabais
piétinées comme un champs de bataille
autres hypocrites, autres alcools
et le temps se trouble
comme un matin de blancheurs
Et de virginité aveugles
Q'est-ce à faire, et que dire encore
Se vautrer, pour peu que fleurissent
les odeurs de l'univers
Sombres nuits, où l'on se cache
Contre les arbres fols
Des voies lactées
lumière et fumée
lointaines irruptions
et volontés
et translations
RM
piétinées comme un champs de bataille
autres hypocrites, autres alcools
et le temps se trouble
comme un matin de blancheurs
Et de virginité aveugles
Q'est-ce à faire, et que dire encore
Se vautrer, pour peu que fleurissent
les odeurs de l'univers
Sombres nuits, où l'on se cache
Contre les arbres fols
Des voies lactées
lumière et fumée
lointaines irruptions
et volontés
et translations
RM
vendredi 12 juin 2009
crac
une face cachée et l'autre traquée
par de somptueux mystères
et toutes deux poussées dans les abîmes de l'être
devant Dieu et contre les murs adossées
les faces du monde s'emplissent de regards
Et tout travaille à la disparition
de l'homme libre
dans nos mondes d'égalités et d'identité
qui se servent parmi l'immensité
du peut de temps qu'ont les autres.
Point ici d'abcès à crever
mais des baudruches lamentables
comme des jeux d'enfants
une face pour l'autre, et une pour le ciel,
pour qu'enfin jaillissent les cerfs-volants de nos cerveaux
et qu'ils fassent en ritournelles ce que nos corps refusent
les pieds sur l'arrête de l'existence,
et le visage aux cieux offert
une face pour la tristesse
et l'autre pour l'univers
RM
par de somptueux mystères
et toutes deux poussées dans les abîmes de l'être
devant Dieu et contre les murs adossées
les faces du monde s'emplissent de regards
Et tout travaille à la disparition
de l'homme libre
dans nos mondes d'égalités et d'identité
qui se servent parmi l'immensité
du peut de temps qu'ont les autres.
Point ici d'abcès à crever
mais des baudruches lamentables
comme des jeux d'enfants
une face pour l'autre, et une pour le ciel,
pour qu'enfin jaillissent les cerfs-volants de nos cerveaux
et qu'ils fassent en ritournelles ce que nos corps refusent
les pieds sur l'arrête de l'existence,
et le visage aux cieux offert
une face pour la tristesse
et l'autre pour l'univers
RM
jeudi 11 juin 2009
trop plein
Et derrière, et devant, les enfants s'agitent
et appellent leur mère
ha, monde divin, divins cœurs
herbes qui survivent aux temps d'orage
et pierres somptueuses
Protéger l'espace qui nous est dû
se faire au creux des étoiles
une place en satin
ha monde divin, divin soleil
s'engaillardir face au ciel
devant l'antre des voleurs
au long des chemins
ha monde divin, divine lumière
Dans la nuit qui se dépose
comme une douceur d'amants
sur le trop plein de l'être
et derrière, et devant,
les enfants s'agitent
et appellent leur mère
RM
et appellent leur mère
ha, monde divin, divins cœurs
herbes qui survivent aux temps d'orage
et pierres somptueuses
Protéger l'espace qui nous est dû
se faire au creux des étoiles
une place en satin
ha monde divin, divin soleil
s'engaillardir face au ciel
devant l'antre des voleurs
au long des chemins
ha monde divin, divine lumière
Dans la nuit qui se dépose
comme une douceur d'amants
sur le trop plein de l'être
et derrière, et devant,
les enfants s'agitent
et appellent leur mère
RM
table
rasée
par le vent et la foudre
dans les creusets de la forme
et pour crever l'abcès
sur les aurores d'un "ad libitum"
table de repas enivrants, surplombée des regards croisés
comme des livres à peine fermés
nos tables de poussière
traquées par l'enfin et le déjà
prises dans des tempêtes de nerfs
et de vin.
nos lois de papier !
sur nos tables vierges
rasées
comme un sacerdoce
à l'éternité
toutes les tables
et celle ici-même
et celle ailleurs
et celles autrefois
rases
RM
par le vent et la foudre
dans les creusets de la forme
et pour crever l'abcès
sur les aurores d'un "ad libitum"
table de repas enivrants, surplombée des regards croisés
comme des livres à peine fermés
nos tables de poussière
traquées par l'enfin et le déjà
prises dans des tempêtes de nerfs
et de vin.
nos lois de papier !
sur nos tables vierges
rasées
comme un sacerdoce
à l'éternité
toutes les tables
et celle ici-même
et celle ailleurs
et celles autrefois
rases
RM
mardi 9 juin 2009
concentration
Depuis les autres étonnés et leurs bouches béantes
Nous sommes aujourd'hui à l'aube
Car le trop plein de nos vies s'en est allé
Comme une bête féroce rassasiée de sang et de lueurs
Quand au temps nouveaux sont sacrifiées les impatients
et les fleurs de l'âme joviale et amusée
Nous nous levons
Dans un nuage de poussière où rien ne transparait
Et face à la terre, encore
Nos mains jointes vers l'obscurité
Depuis toujours, déjà, et enfin
depuis l'aurore qui vit naitre les dieux
Et qui ne s'en n'est pas relevée
Seulement aux orages, divines colères
de l'atmosphère
Puissance du temps et des yeux posés sur l'inconnu
Prêtrise de sacrements devenus faux et piétinés
Du rêve de l'autre qui s'enfuit
Et de ces devant nous, de ces "cogito"
Points virgules !
en anacrouse et pour ce soir encore
Aux foyers de notre histoire qui se déploie
Pour soi la ponctuation, manger sans laisser de restes
et s'en ravir encore rien qu'à y penser
Se nourrir de mots décharnés, osseux et translucides
Pour qu'ils reviennent à nous,
A l'homme du nouveau monde
à ceux du temps passé trop vite
pour les prières qui furent exaucées
Amen
RM
Nous sommes aujourd'hui à l'aube
Car le trop plein de nos vies s'en est allé
Comme une bête féroce rassasiée de sang et de lueurs
Quand au temps nouveaux sont sacrifiées les impatients
et les fleurs de l'âme joviale et amusée
Nous nous levons
Dans un nuage de poussière où rien ne transparait
Et face à la terre, encore
Nos mains jointes vers l'obscurité
Depuis toujours, déjà, et enfin
depuis l'aurore qui vit naitre les dieux
Et qui ne s'en n'est pas relevée
Seulement aux orages, divines colères
de l'atmosphère
Puissance du temps et des yeux posés sur l'inconnu
Prêtrise de sacrements devenus faux et piétinés
Du rêve de l'autre qui s'enfuit
Et de ces devant nous, de ces "cogito"
Points virgules !
en anacrouse et pour ce soir encore
Aux foyers de notre histoire qui se déploie
Pour soi la ponctuation, manger sans laisser de restes
et s'en ravir encore rien qu'à y penser
Se nourrir de mots décharnés, osseux et translucides
Pour qu'ils reviennent à nous,
A l'homme du nouveau monde
à ceux du temps passé trop vite
pour les prières qui furent exaucées
Amen
RM
jeudi 4 juin 2009
propriétés
propriété du vin : procure l'ivresse
propriété de l'art : procure le sentiment du beau
propriété du design : procure un quotidien de la forme
propriété de la sagesse : procure le contrôle de l'âme et du corps
propriété de l'art-déco : procure des décorations
propriété de la légion d'honneur : procure une décoration
propriété de la légion étrangère : procure un sentiment de puissance
propriété de l'étrangeté : procure la surprise
propriété de l'acte sexuel : procure l'orgasme
propriété du bicarbonate de soude : nettoie et désinfecte
propriété de l'espace-temps : crée la réalité
propriété de l'hermétisme : procure l'ivresse,procure le sentiment du beau,procure un quotidien de la forme,procure le contrôle de l'âme et du corps,procure des décorations,procure un sentiment de puissance,procure la surprise,procure l'orgasme,nettoie et désinfecte,crée la réalité pour trouver midi à quatorze heures !
RM (hermétic man)
propriété de l'art : procure le sentiment du beau
propriété du design : procure un quotidien de la forme
propriété de la sagesse : procure le contrôle de l'âme et du corps
propriété de l'art-déco : procure des décorations
propriété de la légion d'honneur : procure une décoration
propriété de la légion étrangère : procure un sentiment de puissance
propriété de l'étrangeté : procure la surprise
propriété de l'acte sexuel : procure l'orgasme
propriété du bicarbonate de soude : nettoie et désinfecte
propriété de l'espace-temps : crée la réalité
propriété de l'hermétisme : procure l'ivresse,procure le sentiment du beau,procure un quotidien de la forme,procure le contrôle de l'âme et du corps,procure des décorations,procure un sentiment de puissance,procure la surprise,procure l'orgasme,nettoie et désinfecte,crée la réalité pour trouver midi à quatorze heures !
RM (hermétic man)
mardi 2 juin 2009
lundi 1 juin 2009
devant
devant la vie se tiens la fin,
qui toujours sait attendre
et qui toujours s'enfuit, mais ne s'efface point
devant l'homme se tiens l'autre,
celui du genre et de la vertu
qui toujours s'essouffle aux rivages éperdus
devant la vie se tiens la réalité
qui déverse sans cesse ses images
et sa colère aux visages tendus vers le ciel
devant le soleil se dressent nos vies,
qui sans s'en apercevoir s'emportent
et se nouent.
Autour d'un autre, devant l'ailleurs et le lendemain
se tiens la vie aux yeux immenses
RM
qui toujours sait attendre
et qui toujours s'enfuit, mais ne s'efface point
devant l'homme se tiens l'autre,
celui du genre et de la vertu
qui toujours s'essouffle aux rivages éperdus
devant la vie se tiens la réalité
qui déverse sans cesse ses images
et sa colère aux visages tendus vers le ciel
devant le soleil se dressent nos vies,
qui sans s'en apercevoir s'emportent
et se nouent.
Autour d'un autre, devant l'ailleurs et le lendemain
se tiens la vie aux yeux immenses
RM
dimanche 31 mai 2009
mardi 26 mai 2009
au-delà
pour trouver une fleur
garder, pour soi les aventures
et vivre au lendemain.
pour le creuset du temps
sentir au coins des rues
le vent qui se déploie
pour la terre
encore encore encore
pour la musique des airs
sans espace, sans rien
que le vent,
sans allure ni pathos
sans souillures
pour le temps,
passé, pour l'amour
pour nous,
loin de nos maisons
loin de nos vies
pour les drogues
nauséabondes
pour la musique que fait le monde
quand il pleut
le tonnerre gronde
au-delà
et raisonne
RM
garder, pour soi les aventures
et vivre au lendemain.
pour le creuset du temps
sentir au coins des rues
le vent qui se déploie
pour la terre
encore encore encore
pour la musique des airs
sans espace, sans rien
que le vent,
sans allure ni pathos
sans souillures
pour le temps,
passé, pour l'amour
pour nous,
loin de nos maisons
loin de nos vies
pour les drogues
nauséabondes
pour la musique que fait le monde
quand il pleut
le tonnerre gronde
au-delà
et raisonne
RM
abandonner l'espoir
se croire en liberté, pour d'autres
Enivrés d'envie et de désirs,
pour suer aux chaleurs
de la planète terre
pour d'autres encore, boire
Et ne plus croire à l'éternité
s'enticher de peu et se faire un vide
pour une lueur d'orage
abandonner pour fuir,
pour que demain soit une fête
et qu'enfin vibrent les cordes
des foyers africains
l'autre et le désespoir, sur la liberté,
juchés là
et l'homme seul face à la terre
face au déjà fait du monde d'ailleurs
abandonner l'espoir,
pour en vivre et se donner
un air
airM ( flouflouflou )
Enivrés d'envie et de désirs,
pour suer aux chaleurs
de la planète terre
pour d'autres encore, boire
Et ne plus croire à l'éternité
s'enticher de peu et se faire un vide
pour une lueur d'orage
abandonner pour fuir,
pour que demain soit une fête
et qu'enfin vibrent les cordes
des foyers africains
l'autre et le désespoir, sur la liberté,
juchés là
et l'homme seul face à la terre
face au déjà fait du monde d'ailleurs
abandonner l'espoir,
pour en vivre et se donner
un air
airM ( flouflouflou )
samedi 23 mai 2009
aux fraises
Mon âme est aux fraises
Faite de fruits un peu passés
Qui furent mûres et qui pourrissent
Comme une pomme sous un arbre
Mon cœur est au faîte
De ce que sont ses fruits
Mais l'autre et l'inconnu
Semblent attendre aujourd'hui
Et se cacher comme une muse
Qui fatiguée ne s'amuse
Plus
mon âme est aux fraises
de ne trouver aucune muse
ce matin
mais qu'importe,
rien ne vaut ces fruits sucrés
de l'éternité
mon âme est à tout
les corps,
qui s'en font une histoire
et cueillent des fraises
comme on s'en va boire.
RM (héros mais pas trop)
Faite de fruits un peu passés
Qui furent mûres et qui pourrissent
Comme une pomme sous un arbre
Mon cœur est au faîte
De ce que sont ses fruits
Mais l'autre et l'inconnu
Semblent attendre aujourd'hui
Et se cacher comme une muse
Qui fatiguée ne s'amuse
Plus
mon âme est aux fraises
de ne trouver aucune muse
ce matin
mais qu'importe,
rien ne vaut ces fruits sucrés
de l'éternité
mon âme est à tout
les corps,
qui s'en font une histoire
et cueillent des fraises
comme on s'en va boire.
RM (héros mais pas trop)
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